Musique
Merci
Album paru le 1er septembre 2025
Près de l'enfant
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet
Je me souviens très bien comment c’était avant toi, je me blessais souvent à coup de rêves, de faux-semblants. Je ne sais pas comment cela pourrait être sans toi, alors c’est bien en restant là que je voyage au cœur de moi. A cette heure dans notre forêt je pourrais bien un peu me perdre pour que tu viennes me chercher, et pour qu’à nouveau, tu réserves notre aller-simple pour la maison. Partir, partir, partir pour un instant, ou partir plus longtemps, trouver l’espace beaucoup trop grand, hurler ton nom à tous les vents. Partir, partir, partir sans m’arrêter, ne penser qu’à te retrouver, sentir mon souffle te parler, mes mains s’ouvrir pour te toucher. A cette heure … Partir, partir, partir le pas léger mais le cœur lourd et t’appeler, sentir ma vision se brouiller, et mes antennes s’étioler. Partir, partir, ne plus douter du tout, partir pour me mettre debout, laisser la foudre me rappeler que sans toi, mon royaume disparaît . A cette heure … Rester, rester, rester et te suivre partout, rester te faire les yeux doux, te faire rire, faire les fous, laisser la pluie couler sur nous. Rester, rester, effacer tous les mirages, et rassembler nos âmes, rester avec force et courage, sans jamais souffler sur la flamme.
REFRAIN
Loin de moi
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet
Sans bruit
pour Sarah
Tu as a des petits gestes,
et des petites moues,
une voix presque frêle,
des sourires tout doux,
tu ne t’emportes guère,
sauf seule dans ton salon,
ta mère te trouve belle
quand tu mets des talons.
Tu traques tes émois pour
marcher toujours droit
comme on t’ a bien appris,
sans éclats ni folie,
ton tapis de yoga est
toujours près de toi,
au cas où tu t’énerves, faut pas,
faut pas faire de tracas.
Qu’est ce qu’on t’a appris ma chérie,
c’est pas ça être en vie,
tous les sens endormis,
on n’a pas le choix ma chérie,
l’amour vient toujours nous
bousculer pour nous réveiller.
Tu effleures ta vie
sans bruit à petits pas,
sans joie et en secret,
tu grignotes parfois,
tu essaies sans relâche
d’être bien dans les clous,
tes passions tu les caches,
ça fait trop de remous.
Quand ton cœur s’émerveille
bien plus qu’il ne devrait,
comme un vent d’indécence,
un cri de nouveau né,
tu chasses ces chimères
en rangeant ta maison,
sans pleurs et sans frissons,
et en toute saison.
Qu’est ce qu’on t’a appris ma chérie…
Bien sur y’a bien des hommes
qui sont passés par là,
un petit mec sympa
très amoureux de toi,
ton masque de poupée
était bien accroché,
il n’a pas réussi
à le faire tomber.
Tu trouves bien injuste
qu’il soit parti comme ça,
une vie bien tranquille
l’attendait près de toi,
tu voulais te marier
et avoir des enfants,
on ne t’y prendra plus,
c’est fini ces tourments !
T’es passée à coté,
il voyait ta lumière,
les fêlures dans tes gestes,
tes doutes et tes colères,
il aurait bien tout pris,
même les soirs de pluie,
pour te voir défaillir
et montrer ta folie,
il aurait bien dansé
le soir autour du feu,
il aurait écouté
tes espoirs et tes vœux,
il t’aurait donc aimé
d’amour exagéré,
le seul qui vaille bien la peine,
la peine d’exister.
Qu’est-ce qu’on t’a appris ma chérie…
Guàrdame
Paroles et musique Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
je suis fille du temps,
je me coule et je m’enroule
dans les plis du moment
je t’enrobe et ma robe
joue avec le vent.
Je suis fille de la rivière,
l’enfant de l’océan,
si je m’arrête un instant
pour te bercer de mon chant,
n’en attends pas tant,
je n’reste pas longtemps.
C’est pas que j’ai pas envie
de passer ici ma vie,
mais si dans la chaleur
le calme de ton cœur
je m’endors je me noie
sans même penser à toi!
J’suis pas la Belle au Bois Dormant,
je ne veux pas dormir 100 ans,
les parures les draps d’soie,
tout ça c’est pas pour moi,
oh oui quel malheur quel malheur,
si je t’aime prends garde à toi!
Je suis mère je suis la Terre
j’embrasse tous mes enfants,
je me fonds dans la lumière,
j’embrase les tourments,
si tu viens à moi,
je t’offrirais mes bras.
Je suis caresse du ciel,
à ton cou je me pend,
je vais seule sur le chemin
la rosée me va bien,
ne me cherche pas,
si je disparais parfois.
C’est pas…
Je suis louve mon ami,
la fiancée du printemps,
je bois dans le torrent,
mes pieds nus vont dansant,
et l’air dans mes cheveux
me dit les mots des Dieux.
Je suis Lune mon amour
je m’éveille au couchant,
je suis Lune et je m’envole
loin de toi maintenant,
je suis ivre et folle de toi
oui, mais pourtant…
crédits
que rien ne change.
La fille de 13 ans
Paroles et musique de Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet
Loin de moi
Pour Zoé
La mère:
Tu es belle et courageuse ma chérie,
tu es drôle sans détours et sans chichis,
tu préfères les regards sans fard,
le vrai dans les histoires.
Dans ton dos ont poussé des ailes dorées,
des ailes de reine prêtes à s’envoler,
la vie a tellement besoin de toi,
même si c’est loin de moi.
La fille:
Si tu veux bien je m’envole,
ça m’évitera de courir
après des chimères folles,
plus obligée de sourire.
Je peux parler haut et fort,
même si ça ne plait pas,
rien ne freinera plus mon essor,
même si c’est loin de toi.
La mère:
Si tes ailes sont un peu froissées,
La fille:
Toi tu souffleras dessus,
La mère:
L’amour te fera décoller !
La fille:
Ah ça, je l’ai toujours su…
Quel est ce destin qui fait se rencontrer
deux âmes qui cherchent et bravent les dangers,
deux anges au cœur un peu cabossé,
par les vents contrariés ?
Tu peux porter le monde ou être légère,
tu n’as pas besoin de chercher à me plaire,
je ne cesserai jamais d’être fière,
même si c’est loin de moi.
Présence
Paroles et musiques Sandrine LABORY-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Mère
Pour Laure
Posé sur ton ventre,
son petit corps tout chaud,
issu de ton antre,
la vie qui sort de l’eau,
tu peux sentir malgré ta peur,
ce sentiment si doux
qui remplit ton coeur.
Il a fait naître de toi
tous les secrets,
ceux que les Mères
portent en elles à jamais
l’amour depuis la nuit des temps,
la Terre qui rit
de voir s’offrir un enfant.
Amalia, cerca de su cuna,
Amalia, a mirar su sonrisa,
Amalia, la vida que no se para,
Amalia, sabes
que en sus suenos te habla.
Dans son sommeil
tu rêves aussi,
les loups sont loin,
la peur s’enfuit.
Tu lui diras les mots
du chant sacré
ceux que ton sang
pour lui seul a créé,
ceux qui consolent
qui rendent fort, qui bercent tant
que la vie coule sans effort.
Tu lui diras le monde
et sa folie,
qui se consume
pendant que lui grandit,
que seul l’Amour peut le sauver
que le mystère
par lui sera dévoilé.
Amalia, cerca de su cuna…
Dans son sommeil
tu rêves aussi,
les loups sont loin,
la peur s’enfuit.
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Guàrdame
Pour Olivier
Tes livres sont restés
ouverts sur tes nuits blanches,
les mots de ton ennui
se sont perdus je pense,
quoi, tu n’as pas vu
la douceur des sourires,
quoi, tu n’as pas senti
la chaleur vive de nos rires?
Ta course vers le trop,
du tumulte au silence,
tes désirs impatients
ou ton indifférence,
mais toi tu connais mes mystères
quand d’autres désespèrent,
le rire au coin des yeux
une balançoire pour deux.
Guàrdame,guàrdame,bis
« ta Katie t’as quitté »,
trop tard pour l’écouter,
mon coeur aurait aimé
que rien ne change.
Les couleurs de l’envie
n’ont pas trouvé ta porte,
« Ce satané gamin,
que le Diable l’emporte! »,
quand la nuit tu écris
l’histoire de tes transes,
tes démons te supplient d’accourir
et d’entrer dans leurs danses.
Que ta nouvelle terre
te soit douce et intense,
puisque tu n’as pas pu
fuir tes peines d’enfance,
moi, je reste et j’apprends
à pardonner ce temps,
qui malmène et tarit
le cœur pur des enfants.
Guàrdame,guàrdame bis
trois p’tits chats, chats perchés,
c’est trop tard pour tricher!
Mon coeur aurait aimé
que rien ne change,
guàrdame,guàrdame bis
mon coeur, mon coeur,
mon coeur , mon ange,
mon coeur aurait aimé
que rien ne change.
chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Merci
Pour B.L
Si tu ne m’aimes plus,
si je n’existe plus,
et puisque ton absence
m’impose ce silence,
puisque ta lassitude
rompue de solitude
nous a laissés transis,
errants et démunis,
avant le grand partir,
il est temps de te dire:
j’ai grandi dans tes pas,
épousé tes combats,
attendant ma médaille
à chaque retrouvaille,
j’en ai passé du temps
à guetter tes tourments,
j’ai poussé dans ton ombre
qu’elle soit joyeuse ou sombre.
Et puisque tes discours
ont soudain coupé court
à toute discussion
à toute insoumission,
permets moi cette audace
même si tu perds la face
de faire comme autrefois
de t’appeler Papa.
Même pour un vieux Monsieur,
je n’ai pas trouvé mieux.
Et si ton cœur ne peut
partir sans dire adieu,
si tu baisses ta garde,
si la tendresse gagne,
si ta montre s’affole
si ton orgueil s’envole,
comme une enfant bénie,
je te dirai merci.
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Le winner
Pour Bruno
Y’a vraiment rien à faire,
la matière reste un mystère,
quand il attrape un objet,
il finit toujours par tomber.
Si son regard se perd,
quand il flotte un peu dans l’air,
il se fait rattraper
par la loi de la gravité.
Il a l’air un peu inquiet,
happé par ses pensées,
il préfère s’éclipser,
improviser sans se presser :
Un chant d’amour pour sa chérie,
un chant d’amour qui se languit,
un air de bulles au fil de l’eau,
des vagues douces pour sa peau,
un petit air pas terre à terre,
un champs de fleurs rien que pour elle,
des mots pour chanter la lumière,
la mer et tous les bleus du ciel.
Il regarde ébahi
les winners les gros châssis,
les regards carnassiers,
les grandes mâchoires carrées,
les vendeurs de santé,
les chamanes de quartier,
ceux qui parlent trop fort et
sont suspects de tant d’efforts.
Y’a pas d’mal en vérité
à les voir se défier,
les m’as-tu vu il connaît,
lui il préfère improviser.
Tant que le monde tournera et
médaillera les gros bras,
il jouera de l’harmonica,
et sans fléchir il écrira :
Un chant d’amour pour sa chérie,
un chant d’amour qui se languit…
Un chant qui arrête la course
qui stoppe le cours de la bourse,
qui reformate les perdants,
les oubliés au cœur vaillant,
une chanson pour demoiselles,
un chant qui secoue les dentelles,
un chant qui n’a rien à prouver
mais qui fait fondre les plus coincées.
chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Les guérisseuses
Pour Tilicho
J’ai entendu chanter
le choeur des guérisseuses.
mes amies, mes ancêtres,
mes douces et fières sœurs,
vous avez la peau dure,
le cœur bien accroché,
vous n’avez plus de liens
autour de vos poignets.
Vous voyez ma paresse
mes doutes et mes errances,
ma peur du ridicule,
ma peur du lendemain,
mes habitudes vaines,
mes nostalgies d’enfance,
mes freins, mon indolence,
et mes rêves sans fin.
Le monde me fait peur,
je préfère le silence,
je marche sur un fil,
ou me fais trop pesante,
j’effleure mes couleurs,
sans jamais trop d’effort,
je laisse mes émois
décider de mon sort.
Vous n’avez rien cédé
à votre vraie nature,
on vous disait sorcières
pour mieux vous contrôler,
vous qui avez connu,
bravé les dictatures,
nul n’a jamais réussi
à vous museler.
Que la puissance de votre voix
devienne le temple de ma foi
et que mes branches se soulèvent.
Que votre irrévérence insensée
souffle un grand vent de liberté,
que ma joie se fasse nouvelle.
Que votre courage inestimé
soit toujours là pour m’escorter,
puisse t’il me donner des ailes,
que la terre soit tendre sous mes pieds
pour que je puisse m’élancer,
même si parfois je chancelle.
Je prends racine en vous
je n’ai pas d’autre choix,
vous m’avez dit hier
« Nous sommes toutes avec toi.
Tu es la page blanche,
et tout ce qui s’écrit,
la lourdeur de l’été,
le vent froid qui transit,
tu es la force brute,
la patience éprouvée,
le désir envolé
et l’envie retrouvée.
Tu es la division
et ce qui réunit,
la folle démesure
et la Grâce infinie,
tu es le chat qui dort
et l’orage qui gronde,
le soupçon qui enferme
et l’amour qui inonde. »
Je prends racine en vous
je n’ai pas d’autre choix,
vous m’avez dit hier
« Nous sommes toutes avec toi ».
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Celui qui m’aime
Celui qui m’aime
protège mes envies,
celui qui m’aime
n’a pas peur de mes nuits,
il m’a faite reine
de son cœur de son nid,
il porte mon diadème
et moi je lui dis, je lui dis oui.
Celui qui m’aime
me parle de sa vie,
je le vois qui veille
à être ce qu’il dit.
Fidèle à lui-même
il sait quand me dire oui,
il sourit et il sème des fleurs
tout autour de mon logis.
Celui qui m’aime
a le courage des plus fous,
il ouvre ses frontières,
ne se laisse pas fléchir
par les remous,
celui qui m’aime
sait puiser à l’envie
dans son cœur de bohème
un appétit infini pour la vie,
la vie qui lui dit, qui lui dit oui.
Celui qui m’aime
n’offre pas de crédit
à l’amour qui enchaîne
à celui qui trahit,
il sait montrer sa peine
et sait dire merci,
sans détours et sans gêne
il me voit telle, telle que je suis.
Celui qui m’aime
connaît tous les chemins
qui mènent vers ma terre,
mon cœur uni au sien,
vêtu de sa lumière
il libère nos freins,
toujours droit et sincère,
j’ai fait de lui mon seul souverain
Celui qui m’aime
a le courage des plus fous,…
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Ave Maria
Derrière la fenêtre,
j’entends les enfants,
j’entends leurs rires,
leurs jeux et leurs chants,
je voudrais tant les voir,
mais déjà dans ma tête,
tout ce vacarme,
ces bruits, ces alarmes,
je cherche comme hier
les mots de ta prière.
Ave Maria, llena de gracia.
Je ne dois pas sortir,
je ne sais plus pourquoi,
je porte cet habit,
tout raide et tout gris,
pourtant je me souviens
de l’odeur du printemps,
du bruit du vent,
de ses mains avides,
de son cou comme un nid.
Ave Maria, llena de gracia.
Oh Maria,
dis moi qu’il reviendra
je n’ai plus que toi,
ici l’on rit de moi,
ma peau veut encore
se saouler de son corps,
mes mains désolées
veulent le caresser,
lui dire sans parler
l’amour sous mes baisers.
Toi aussi Maria,
je sens que tu t’en vas,
Santa Maria, llena de gracia,
pourtant ta prière
aurait pu faire taire
ce feu dans ma tête
et les mots de toujours
ramener le jour
et mon bel amour.
Ave Maria, llena de gracia,
Ave Maria…
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Maddy
pour Danièle
La petite Maddy
voulait marcher sur l’eau,
sa maman lui a dit,
« ah ça c’est rigolo!
Tu ne peux pas ma chérie,
personne ne peut faire ça,
la loi de la pesanteur…
Je t’expliqu’rais ça »
Maddy: Mais Peter Pan, lui,
il vole bien dans le ciel!
Maman: Oui mais c’est un dessin animé,
c’est pas pareil.
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant
d’avoir des parents aussi navrants,
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant,
j’y arriv’rais pourtant!
La petite Maddy
a eu pas mal d’ennuis,
car elle aimait la vie,
les couleurs et la pluie,
quand le matin elle voyait
les nuages s’annoncer,
elle se disait ouais chouette,
je vais pouvoir m’entraîner!
Maman: Ca va lui passer,
ça va bien finir par lui passer…
Ah mon Dieu…
Jeune fille Maddy
a eu quelques amants
qui se lassaient de toujours
l’attendre au bord de l’étang,
elle eut du vogue-à-l’ame,
et se perdit quelquefois,
oui mais toujours en elle
chantait cette petite voix :
Maddy: alors toi t’y crois pas à tout ça,
par exemple, Moïse!
Qui a ouvert l’océan!
XXX: mais c’est une parabole,
c’est une belle histoire ma puce,
c’est pour les enfants…
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant
d’avoir des amants aussi navrants,
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant,
j’y arriv’rais pourtant!
Etudiante Maddy
ne crût pas un instant
ses vieux profs aux concepts
pas vraiment innovants,
mais où est donc le mystère,
la magie de mes jeux d’enfants,
moi j’crois qu’un fil de fer
peut dev’nir un ruban.
Les profs: mais oui bien sûr…
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant
d’avoir des vieux profs aussi navrants,
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant,
j’y arriv’rais pourtant!
Attention dénouement…
Maddy mis le pied sur l’eau
pour la énième fois,
et quelle ne fut pas sa joie
quand elle ne coula pas,
la vieille Ginette l’a vue
parler avec les canards,
toute nue elle flottait
au milieu de la marre.
Ginette: je l’ai vue, je vous dit que
je l’ai vue là comme je vous vois!!
Les gendarmes: mais oui, Madame Ginette,
on vous croit.
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant
d’avoir des voisins aussi navrants,
Ah mon Dieu qu’c’est embêtant,
j’y arriv’rais pourtant!
Ah mon Dieu…
Maddy Maddy bon vent
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
La fille de 13 ans
Pour Pierre
Dans la pénombre je regarde au dehors
le vent et la pluie qui jouent sans effort
je cherche autour de moi un peu de vie,
un peu d’amour aussi.
Si seulement vous pouviez me parler
si vous pouviez vraiment me regarder
si votre main pouvait me toucher,
me rassurer.
Moi je ne suis qu’une fille de 13 ans,
j’ai tout ce feu qui coule dans mon sang
quand je vous vois j’ai envie de hurler
je cherche comment exister.
Autour de moi des visages fermés
comme ces mannequins
sur le papier glacé
pas de vrais rires dans ma classe bondée
personne pour mes secrets.
J écris mon nom sur les pages des cahiers
j’écris mes sentiments dans des carnets
je dessine des fleurs partout où je vais.
Moi qui ne suis qu’une fille de 13 ans
je vois les grands mentir honteusement,
je les entend se parler sans jamais
les voir se rencontrer.
Toi qui te tiens là debout devant moi
qui n’a pas peur et qui ne cilles pas,
tu es le bienvenu dans ce désert
dans mon décor amer.
Comme dans le livre
dessine moi un mouton
comme dans les films bénis mon nom,
ne prononce rien qui ne soit pas vrai
qui ne soit pas toi.
Moi qui ne suis qu’une fille de 13 ans
je vois le monde à feu et à sang,
je danse seule loin de ces faux semblants
toujours à contretemps.
Dis moi tes jours dis moi tes nuits
dis moi tes joies dis moi tes appétits,
dis moi tout ce qui fait vibrer ton coeur
dis moi pourquoi tant de douleurs.
Dis moi surtout dis moi les sentiments
dis moi comment t’es devenu grand,
parle moi de Dieu et de la vie,
dis moi la mort, aussi.
Dans la pénombre je regarde dehors
le vent et la pluie qui jouent sans effort.
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
T’as le choix, t’as le choix,
ou t’y vas ou t’y vas pas,
sors un peu de ton sommeil,
danse, crie, oh!réveille- toi,
ouvre un peu tes yeux allez
fais palpiter toutes tes joies,
fais un feu de tes émois,
éclabousse-moi de tes éclats.
Fais le choix, fais le choix
de sentir la vie qui bat,
invente tes mots à toi,
décide toi à pleine voix,
et si ma main sur ton cœur
enfin ne te déride pas,
si tu es vrai moi je serai toujours là.
Du haut de ta tour d’ivoire
tu as si peu ou plus d’espoir,
tu déroules sans fin le film
malheureux de ton histoire,
que d’instants fragiles,
de pluie de froid et d’exil,
ton cœur se glace, l’amour se lasse.
Viens je t’emmène
à l’autre bout de ma terre,
changer de phonèmes,
te dire autrement que je t’aime,
viens je t’emmène chanter
sur des toits de papier,
t’écrire des poèmes,
te faire tout léger.
Car t’’as le choix, t’as le choix,
ou t’y vas ou t’y vas pas…
Tu peux rester là jusqu’au bout
jusqu’à l’effondrement du tout
ou bien risquer de te montrer
sans pudeur et te dévoiler,
vague insolente de toi, de joie !
Viens je t’emmène…
crédits
Présence
Album paru le 7 août 2023
Près de l'enfant
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet
J’étais partie loin de l’enfant qui sait écouter les oiseaux
Et danser dans les bras du vent, j’ai lâché sa main un moment,
Je me suis égarée longtemps, j’ai voulu suivre le courant,
mon moulin a brassé de l’air, ma bouche a dit des mots amers,
L’enfant ne cessait d’appeler,
je me suis enfin retournée,
ma course folle s’est arrêtée,
mon cœur glacé s’est réveillé,
REFRAIN
Près de l’enfant qui embrasse les cailloux,
Qui chantonne des mots doux,
Qui rit et qui joue loin de tout, loin du bruit, loin de l’ennui,
je suis sans dépit ni repli, c’est l’amour sans dessus dessous, la Vie.
Emplie de croyances têtues, guidée dans des voies sans issue,
j’ai navigué en désoeuvrée, m’éloignant de la vérité,
J’ai vendu mon âme souvent, pour un regard tendre, un instant,
J’ai voulue être reconnue, choyée, portée aux nues,
Cette enfant qui vit dans mon cœur m’a crié toutes ses douleurs,
Il m’a fallu bien l’écouter, moi seule ai pu le consoler
REFRAIN
Loin de moi
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet
Pour Zoé
La mère :
Tu es belle et courageuse ma chérie,
tu es drôle sans détours et sans chichis,
tu préfères les regards sans fard,
le vrai dans les histoires,
Dans ton dos ont poussé des ailes dorées,
des ailes de reine prêtes à s’envoler,
la vie a tellement besoin de toi,
même si c’est loin de moi, 3*
La fille:
si tu veux bien je m’envole,
ça m’évitera de courir
après des chimères folles,
plus obligée de sourire,
je peux parler haut et fort,
même si ça ne plait pas,
rien ne freinera plus mon essor,
même si c’est loin de toi, 3*
La mère : Si tes ailes sont un peu froissées
La fille: Toi tu souffleras dessus,
La mère: L’amour te fera décoller !
La fille: Ah ça je l’ai toujours su…
Quel est ce destin qui fait se rencontrer
Deux âmes qui cherchent et bravent les dangers,
deux anges au cœur un peu cabossé,
par les vents contrariés,
tu peux porter le monde ou être légère,
tu n’as pas besoin de chercher à me plaire,
je ne cesserai jamais d’être fière,
même si tu es loin de moi, 3*
Guàrdame
Pour Olivier
Paroles et musique Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Tes livres sont restés ouverts sur tes nuits blanches,
les mots de ton ennui se sont perdus je pense,
quoi, tu n’as pas vu la douceur des sourires,
quoi, tu n’as pas senti la chaleur vive de nos rires ?
Ta course vers le trop, du tumulte au silence,
tes désirs impatients ou ton indifférence,
mais toi tu connais mes mystères quand d’autres désespèrent,
le rire au coin des yeux une balançoire pour deux,
Guàrdame, guàrdame, guàrdame, guàrdame,
« ta Katie t’as quitté », trop tard pour l’écouter,
mon cœur aurait aimé que rien ne change
Les couleurs de l’envie n’ont pas trouvé ta porte,
« Ce satané gamin, que le Diable l’emporte! »,
quand la nuit tu écris l’histoire de tes transes,
tes démons te supplient d’accourir et d’entrer dans leurs danses,
Que ta nouvelle terre te soit douce et intense,
puisque tu n’as pas pu fuir tes peines d’enfance,
moi, je reste et j’apprends à pardonner ce temps,
qui malmène et tarit le cœur pur des enfants,
Guàrdame, Guàrdame,
Guàrdame, Guàrdame,
trois p’tits chats, chats perchés, c’est trop tard pour tricher !
Mon cœur aurait aimé que rien ne change,
Guàrdame, Guàrdame,
Guàrdame, Guàrdame,
mon cœur, mon cœur, mon cœur , mon ange
mon cœur aurait aimé que rien ne change.
La fille de 13 ans
Paroles et musique de Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet
Dans la pénombre je regarde au dehors le vent et la pluie qui jouent sans effort
je cherche autour de moi un peu de vie, un peu d’amour aussi
si seulement vous pouviez me parler
si vous pouviez vraiment me regarder
si votre main pouvait me toucher, me rassurer
Moi je ne suis qu’une fille de 13 ans,
j’ai tout ce feu qui coule dans mon sang
quand je vous vois j’ai envie de hurler
je cherche comment exister
Autour de moi des visages fermés
comme ces mannequins sur le papier glacé
pas de vrais rires dans ma classe bondée
personne pour mes secrets
j’écris mon nom sur les pages des cahiers
j’écris mes sentiments dans mes carnets
je dessine des fleurs partout où je vais
Moi qui ne suis qu’une fille de 13 ans
je vois les grands mentir honteusement
je les entend se parler sans jamais
les voir se rencontrer
Toi qui te tiens là debout devant moi
qui n’a pas peur et qui ne cilles pas
tu es le bienvenu dans ce désert
dans mon décor amer
com’ dans le livre dessine moi un mouton
com’ dans les films bénis mon nom
ne prononce rien qui ne soit pas vrai qui ne soit pas toi
Moi qui ne suis qu’une fille de 13 ans
je vois le monde à feu et à sang,
je danse seule loin de ces faux semblants
toujours à contretemps,
Dis moi tes jours dis moi tes nuits
dis moi tes joies dis moi tes appétits,
dis moi tout ce qui fait vibrer ton coeur
dis moi pourquoi tant de douleurs
dis moi surtout dis moi les sentiments
dis moi comment t’es devenu grand,
parle moi de Dieu et de la vie,
dis moi la mort, aussi
Dans la pénombre je regarde dehors le vent et la pluie qui jouent sans effort
Présence
Paroles et musiques Sandrine LABORY-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
Puisse l’amour qui nous unit ici s’étendre à l’infini
Sur la terre et dans le ciel, dans les cœurs les esprits,
Lokah samasta sukhino bavhantu
Lokah samasta sukhino bavhantu
De vie en vie je te cherche, Ô mon amour, ô ma terre,
tu étais déjà là, j’ai couru sans cesse,
promené partout ma détresse, je ne te voyais pas,
Je t’évite et je t’oublie, je te pressens je te saisis,
tu es bien toujours là, tu as beau me dire
que je suis toi et tu es moi, je t’ai perdu parfois.
Puisse l’amour qui nous unit ici s’étendre à l’infini
Sur la terre et dans le ciel, dans les cœurs les esprits,
Lokah samasta sukhino bavhantu
Lokah samasta sukhino bavhantu
Tu n’as pas de préférence, tu accueilles toutes mes nuances,
tu es mon innocence, tu ouvres tes bras
à ma lumière ou à mes nuits, aux vagues de la Vie,
Tu es ma paix mon silence, tu aimes aussi mon inconscience,
tu ris de mes errances, tu me suis partout
que je sois fière ou à genoux, de moi tu aimes tout
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis
Je suis là
Paroles et musiques Sandrine Labory-Blanchet
Tous droits réservés à Sandrine Labory-Blanchet, auteure et compositrice
À chaque fois que ton cœur s’émerveille
et voit la vérité de chaque instant,
le bleu le rose ou les tourments,
je suis là, je suis là,
j’honore et salue ton soleil,
et du rire aux larmes je m’éveille,
et du rire aux larmes je m’éveille,
À chaque fois que tu perds le contrôle
quand la vie te bouscule dans une danse folle,
quand tu ne te reconnais plus,
je suis là, je suis là,
l’amour a percé ton écorce,
et la douceur devient ta force, bis
REFRAIN
Je suis là, je suis la voie,
ce chant d’amour qui ne tarit pas,
je suis là à chacun de tes pas,
l’ange ou l’étoile toujours près de toi
À chaque fois que tu marches en silence
et sens au creux de toi ma si douce présence,
quand le bruit du monde s’éteint,
je suis là, je suis là,
quand les mots n’ont plus rien à dire,
quand l’oubli de toi te fait rire, bis
Je suis là même si tout semble perdu
quand tu pleures sans fin ton amour déçu,
quand le courage a fui de ta maison,
quand ton cœur n’écrit plus de chansons
À chaque fois que tu peux t’arrêter
et regarder l’enfant qui joue sans se lasser,
quand tu peux lui ouvrir tes bras,
je suis là, je suis là,
quand ton regard répond au sien,
et que s’ouvre enfin le chemin, bis